La matière noire, la raie Lyman alpha, les rayons cosmiques... Ces mots te font rêver et tu aimerais bien, un jour, faire partie de cet univers qui tend sa main vers l’autre, le grand Univers ?

Pour commencer, un bac S

L'incontournable Master 2

• au choix, un M2 professionnel ou un M2 de recherche
• en Astrophysique, Physique théorique, énergies nucléaires etc. (tant que ça touche à la Physique)
• possibilités nombreuses en Ile-de-France et dans toutes les grandes villes de France

Et enfin, la thèse

en France ou à l’étranger, 3/4 ans de recherche sur un sujet, encadré par un (ou deux) directeurs de thèse

Vu comme ça, la thèse semble être la grande finalité de l’astrophysicien. Mais il n’en n’est rien !
Après la thèse, il y a encore les années de “post-doc” (CDD, en majorité effectués à l’étranger) avant de trouver un poste. On peut attendre trois, quatre, parfois même jusqu’à neuf ans.
Beaucoup abandonnent en cours de route. Le chemin est long, jeune future étoile...

Ingénieurs, techniciens, personnel administratif... Toute une foule d’autres métiers sont indispensables à la recherche en Astrophysique. Ils baignent eux aussi dans l’univers de l’Astrophysique.

Vous avez 60 ans, vous êtes passionnés d’astrophysique et vous voulez enfin vous y mettre sérieusement ? D’autres l’ont fait avant vous. Inscrivez-vous en M2 !

On ne peut pas devenir astrophysicien rien qu’en regardant le ciel.
Il faut une grande motivation, d’abord pour aller jusqu’à la thèse, et surtout ensuite, pour trouver un poste. Mais n’étouffez pas trop vite vos rêves, lancez-vous, laissezvous tenter par l’un des plus jolis métiers au monde.